De là, qui dit hôtel de charme, dit que nous
traiterons le thème du masque dans le registre du charme et de l’érotisme. Un
sujet que nous aimons aborder en photographie.
La complicité s’accentue alors. Il appartient à
Annick de choisir les tenues qu’elle voudra porter lors de la séance. C’est
important car elle doit, aussi, se sentir bien dans ses tenues qu’elle adapte à
l’environnement de la chambre. Ici, le bleu est dominant. C’est une première.
Pendant plusieurs jours, Annick pense à cela, m’interroge, prépare sa
« valise de pose ».
Le jour de pose arrive ! Un dimanche à 10
heures. Une autre première.
Annick l’a écrit dans d’autres articles, ce jour-là
est un jour particulier. La complicité se lie dans le silence. Annick déjeune
avant de rejoindre la salle de bain pour s’apprêter. Une préparation minutieuse
car en photo, les moindres détails apparaissent. C’est un moment que je partage
rarement avec elle car c’est un moment de recueillement. C’est Annick le centre
d’intérêt de la séance, pas moi. C’est elle qui va être en phase avec elle.
Vous comprendrez vite pourquoi.
Pendant ce temps, je passe en revue tout le matériel
photo. Ici, l’éclairage est faible donc, le pied photo sera de la partie car je
veux garder la lumière ambiante et ne pas la tronquer par les flashs.
Et puis, on prend la route toujours dans ce silence
de recueillement.
Arrivés à l’hôtel, nous y sommes accueillis chaleureusement
par la tenancière. Elle nous propose même une tasse de café. Mais Annick
préfère commencer rapidement la séance. La dame nous guide jusqu’à la chambre
Venise. Nous entrons dans le lieu de pose.
La dame nous souhaite une excellente séance. J’ai
oublié de vous dire qu’elle sait de quoi elle parle, c’est une ancienne top
modèle.
A suivre, ...
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